Si jamais l’OL, comme à Reims (1-1), estimait avoir sauvé l’essentiel en arrachant une égalisation tardive, samedi soir, à Lens (1-1), on lui répondra quelque peu trivialement qu’il se fourre le doigt dans l’oeil, et que ce n’est pas ainsi qu’avancent les candidats au titre, ni les candidats à la Ligue des champions, du reste. D’ailleurs, ce sont les mêmes, au coude-à-coude, souffles mêlés, et cette fois Lyon n’en est plus, ce matin, tombé du podium après avoir pris deux points sur neuf pendant que ses rivaux mènent grand train.