On ne s’attendait pas à voir de merveilles d’un Lens déjà condamné face à un Nancy aux portes du maintien, plutôt des étincelles porteuses d’espoir. Mais pour la énième fois de la saison, les joueurs du RCL sont revenus en Artois avec une image ternie et plusieurs buts dans l’escarcelle. De Lorraine, cette fois ci.
Bölöni a voulu marquer le coup
Bölöni a voulu marquer le coup
Une fois n’est pas coutume, Laszlo Bölöni a défrayé la chronique au moment d’annoncer son onze de départ en choisissant un système de jeu résolument défensif sans même un attaquant aux avant-postes. Le choix de l’entraineur Roumain s’ajoute à la multitude d’incompréhensions qui existent depuis son arrivée de début janvier. Mais cette fois, l’ex-entraineur de Rennes et Monaco avait pourtant décidé d’écouter les supporters en ajoutant une petite pointe de jeunesse : Alexandre Coeff, Darnel Situ, Yvan Dzierzinski, Thomas Delaine ou Nicolas Carraux ont effectivement fait leur apparition dans le groupe lensois, où treize des dix-neuf joueurs ont été formés à La Gaillette. Il faut dire qu’il n’avait pas le choix.
L’infirmerie, le club de vacances du RC Lens
Car à l’heure où le soleil et la chaleur viennent nous rappeler l’approche de la période estivale, l’infirmerie lensoise s’est particulièrement remplie ces dernières semaines. Jeudi en conférence de presse, l’entraineur du Racing émettait certains doutes sur l’existence de ces blessures ou maladies. Il ne faut pas réfléchir bien longtemps pour s’apercevoir que les joueurs qui l’occupent arrivent en fin de contrat prochainement ou ont déjà témoigné de leur désir de quitter le club. Drôle de manière de dire au revoir à un employeur en pleine agonie et à une Ligue 1 qu’ils ne retrouveront probablement pas, eux non plus. Peut-être aussi que ce nouveau fait marquant prouve une nouvelle fois le comportement puérile d’une formation dont le niveau était bien en dessous de celui que l’on espérait d’elle.
Un mariage pas à la hauteur
La plupart des joueurs alignés contre Nancy n’avaient donc pas beaucoup de matchs de haut niveau au compteur. Inutile, dans ces conditions, d’espérer quoi que ce soit de ce dernier déplacement. Il fallait donc chercher du positif dans une rencontre où Lens a encore prit l’eau. Si le cocktail de jeunes lensois et de plus expérimentés (Demont, Yahia, Hermach, Kasraoui) n’a pas porté ses fruits à Marcel-Picot, il aura toutefois permis aux supporters d’entrevoir certains joueurs qui composeront l’équipe la saison prochaine. Pas sûr néanmoins qu’ils soient rassurés, tant Lens s’est une nouvelle fois targué d’impuissance et de faiblesse tant défensivement qu’offensivement. Le Racing est une équipe de récidivistes. Après avoir été humiliés en se faisant battre à domicile contre la modeste équipe d’Arles Avignon la semaine dernière, les lensois n’en avaient visiblement pas eu suffisamment assez pour quitter la Ligue 1 dignement. A l’image de cette saison carnavalesque, c’est sur un 4-0 si logique qu’ils lui ont dit adieu.
Romain Bucquet
ca me dégouta mais ne baissons pas les bras allez lens
ca me dégouta mais ne baissons pas les bras allez lens
Un N°10 + 10 AUTRES JOUEURS
Il faut tout changer et… attention aux erreurs
allez faite partir toutes ces tanches et achetons des joueurs avec un reel potentiel!!! et pour moi lens a besoin d’un numero 10 un vrai!!! vous en penser quoi?
Yahia pourrait rejoindre l’AS Nancy .
Vous êtes trop dur avec eux les gars…attendez quoi, ils doivent faire les valises, réserver pour les vacances, préparer le déménagement, préparer l’état des lieux, rendre les clés…oh ! ca prend du temps tout ça, les pauvres faut les comprendre !!
Allez du balais, par ici la sortie et bravo à Hermach, Démont, Yahia et Karaoui, qui ont assumé jusqu’au bout, vraiment dessus pour les autres surtout Roudet !!
la HONTE et oui c’est le mot juste !!!
Ils ne sont même pas bléssés , ils ont peur des réactions du public !!! Voilà le motif de leurs absences .
Merci à tous les joueurs pour cette magnifique saison !!!
Déjà qu’ils ont mal joué TOUTE la saison, maintenant…ILS DESERTENT
Belle conscience professionnel
Messieurs… JE NE VOUS FELICITE PAS