Aujourd’hui capitaine de à l’OGC Nice, Julien Sablé n’en oublie pas ses années difficiles du côté de Lens. Il explique aujourd’hui dans L’Équipe avoir été confronté à ses limites du côté de Bollaert :
«J’y ai doublé mon salaire. Mais j’y ai explosé. Je n’étais pas assez mûr et fort pour conjuguer mon nouveau statut avec la performance. J’aurais voulu être un Didier Deschamps et je n’en avais pas la capacité ni le vécu. J’ai vu mes limites. Et, quand tu t’endors, que tu te reposes sur tes lauriers, que tu t’écartes du terrain, il ne te rate pas. J’ai été faible. Quand Daniel Leclercq ne m’a plus calculé du jour au lendemain, j’ai trouvé ça impitoyable. Je ne lui en veux pas, car il m’avait donné ma chance à son arrivée aux commandes de l’équipe, et puis on en avait pris trois à Paris. Mais je n’étais pas loin de craquer complètement. J’ai pensé arrêter ma carrière. Après l’entraînement, je m’allongeais sur le canapé, j’étais en déprime totale. Arrêter, c’était une facilité. Je dois une fière chandelle à ma femme et à un ami proche qui m’ont aidé à m’accrocher.»
Et a Nice tu gagnes moins et tu joues mieux c’est ça??? Tu nous prend vraiment pour des cons Sablé lol. Il est fort ce mec. On lui parle d’année difficile, de foot, de sa forme et l’autre te répond illico franco directo par le pognon. Tu sais tout de suite a qui tu as affaire… Il etait nul a chier point barre.
En même temps je l’aimais bien… Quand il était à Sainté. Grosse déception ce joueur…. A l’image du RCL version 2007-2008