Comment avez-vous vu l’équipe de Troyes progresser après un très mauvais départ ?
« C’est une équipe qui a eu un début compliqué. En l’espace d’une semaine, elle a changé la donne repris confiance, elle a battu Angers et Monaco en lui en mettant quatre, on sait ce que ça veut dire et là, malgré l’expulsion précoce d’un défenseur central, ils ont tenu en échec Rennes. Il y a de très très bons joueurs dans cette équipe. Elle est capable de faire de gros matchs dans l’enchaînement. C’est une équipe très dangereuse parce qu’elle ouvre peu d’espace, d’aspirer l’adversaire et elle peut faire très mal sur des phases de transition et sur phases arrêtêes. Il y a un regain de confiance et c’est un vrai booster. »
Avez-vous revu les images de la fin de match contre Reims et l’action sur Openda ?
« En conférence de presse d’après match, je n’avais pas revu les images mais je pense qu’une fois de plus, il y aurait dû avoir un penalty de sifflé, sans ambigüité. J’aime beaucoup monsieur Wattellier, d’ailleurs, je lui ai dit, mais j’aime pas trop quand il nous arbitre et encore moins contre Reims parce qu’à chaque fois, il y a un penalty oublié. Que ce soit de son côté ou de la VAR. Je pense qu’on aurait pu gagner ce match. »
Comment se travaille l’atmosphère au quotidien ?
« Il n’est pas question de bonne ou moins bonne spirale. Ce qui compte, c’est une forme d’équilibre. Il ne faut pas en en rajouter, et ne pas en enlever. Il faut que les gens, les joueurs aient quelque-chose d’assez stable en face d’eux. Ce qu’on veut, c’est garder cette stabilité. On est sur un chemin, on doit y rester, je crois beacoup en cette stabilité. On n’a pas rajouté de rendez-vous psy, yoga, nutrition ou autre, on est au même niveau que d’habitude. »
Franchement, on se demande à quoi sert la VAR….
Bien sûr qu’il y avait pénalty. Mais avec Wattelier comme arbitre et Frappart à la VAR, on ne pouvait pas espérer grand chose.