Ce sont des moments angoissants. Où la peur du vide suinte partout. Depuis la défaite face à Lille, début avril (0-1) le PSG avait initié un rebond nécessaire. Trois victoires (parfois spectaculaires) en L1, une qualification en demi-finales de Coupe de France, l’exploit contre le Bayern Munich en quarts de C1. Le tout sans blessés ou presque.