Pourquoi avoir choisi Valenciennes ?
Seïd Khiter : « C’est un club, de Ligue 1, qui s’est montré intéressant et intéressé. Je vais en plus rester dans la région. Antoine Kombouaré est un très bon entraîneur avec qui, j’en suis convaincu, je vais pouvoir progresser. Je n’ai eu aucune hésitation. C’était une opportunité à saisir. »
Jonathan Lacourt : « J’ai été en contact avec Antoine Kombouaré qui m’a proposé un challenge sportif très intéressant. »
Vous avez été formés à Lens, vous y avez connu la Gambardella, l’intégration chez les professionnels… Cela ne vous fait pas bizarre de quitter le Racing ?
S.K. : « Bien sûr ! Je dois tout à ce club ! Au fond de moi, j’aurais toujours une pensée. Mais c’est le football. Une page se tourne et je dois avancer. »
J.L. : « Je suis un peu triste. J’ai grandi ici et j’y ai vécu beaucoup de choses. Mais comme l’a dit Seïd, il faut savoir tourner la page. »
Qu’aurait-il fallu pour que vous restiez à Lens ?
J.L. : « Si j’avais senti une confiance… Mais maintenant je pars d’un commun accord. »
S.K. : « L’année dernière, je pensais que j’allais avoir ma chance. Mais j’ai été prêté. A mon retour, je savais que je devais partir. J’aurai aimé jouer la remontée. Mais là, j’ai l’opportunité de jouer en Ligue 1. »
Aviez-vous d’autres contacts ?
J.L. : « J’ai eu une proposition d’un club espagnol. Mais rien de précis. Ma priorité est le sportif et les objectifs qui s’offrent à moi. C’est pour cela que j’ai choisi Valenciennes. Partir, c’est un choix de Jonathan Lacourt ! Le VAFC ne demande qu’à grandir, d’ailleurs c’est ce qu’il fait depuis deux saisons. C’est une nouvelle aventure pour moi ! »