Du bon et du moins bon à gauche

Après le nul concédé face à Istres vendredi, rclensois.fr a noté les acteurs de la rencontre.

Rudy Riou (6) : Peu aidé par sa défense, il a été rassurant tout le long du match. Il peut remercier sa barre transversale qui le sauve juste avant la mi-temps. Et sort l’arrêt du match devant Niagbo à la 68e.

Yohan Demont (5) : Sérieux et appliqué jusqu’à sa passe décisive sur le but lensois. S’est éteint par la suite.

Rémy Bonne (2) : Souvent en retard, fragile et naïf, le jeune latéral gauche Lensois a vécu une soirée cauchemar. Une dernière bien triste prestation.

Alaeddine Yahia (4) : Il a souffert face a la rapidité des deux attaquants Akrour et Genest. Moins rassurant qu’à l’accoutumée. Il aurait pu offrir le but du 2-1 sur coup franc à la 75e.

Alexandre Coeff (4) : A l’instar de son coéquipier dans l’axe de la défense lensoise, il a souvent été à la limite dans ses interventions. Pas assez serein vendredi soir, l’avenir semble malgré tout prometteur pour le jeune français.

Lalaïna Nomenjanahary (7) : Grâce à sa rapidité et sa générosité, il a été le Lensois le plus en vu au cours du match. Logiquement récompensé de ses efforts par un but.

Wylan Cyprien (5) : Un rôle de relayeur qui lui correspond plutôt bien mais il manque parfois d’agressivité dans la récupération de balle. Remplacé à la 63e minute par Samba Sow.

Nicolas Saint Ruf (5) : Peu en vue, il a eu du mal à trouver sa place au sein du milieu lensois. Quelques bonnes interventions à mettre à son actif.

Ludovic Baal (4) : Discret, il s’est contenté de jouer un poste de milieu relayeur sans apporté le soutien offensif nécessaire.

Dème N’Diaye (4) : Un jeu dos au but intéressant mais le jeune attaquant sénégalais est encore trop brouillon dans ses remises. Il dispose tout de même d’une belle marge de progression. Son style de jeu compléterait très bien celui de Touzghar.

Ange-Freddy Plumain (4) : Du talent, une technique au dessus de la moyenne… mais beaucoup de nonchalance. Un bel enchaînement conclu par une demi-volée et une tête croisée sur coup-franc auraient pu faire oublier ses excès d’individualisme.

Jason Esnault, au stade Bollaert-Delelis