Interrogé par La Voix du Nord, l’entraineur lensois Jean Guy Wallemme, toujours décontracté, ne veut pas entendre parler de pression :
« C’est un mot négatif. Et puis, il ne colle pas à la réalité de notre métier. Les gens qui se battent, chaque jour, pour manger ou pour donner à manger à leurs gamins, ont la pression. Pour nous, je parle surtout de conscience professionnelle. Le football reste un jeu »