Alors qu’il affirme avoir "à coeur de confirmer" qu’il n’est "pas qu’un feu de paille" après les belles prestatations réalisées depuis deux ans, Adil Hermach pense que la stabilité du groupe lensois peut être une force:
« Il y a deux ans, on repartait en Ligue 2, la pression n’était pas comparable. Depuis, l’équipe n’a quasiment pas changé et c’est devenu notre force. On a franchi les paliers ensemble, nous sommes devenus un vrai groupe de copains. Tout cela fait qu’on est plus sereins dans notre jeu, on se trouve mieux, on ose des combinaisons qu’on n’aurait pas tentées auparavant. »
Réponse ce soir. Nancy sera un vrai test.
tres juste, le fait de ne pas bouleverser le groupe tous les ans, par la force des choses, dncg oblige, aide a trouver la cohesion