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Jean Louis Garcia l entraineur du racing doit essayer dans un premier temps de gagner le premier match a
BOLLAERT contre REIMS pour séduire le public et continuer sur la meme lancée les matchs a l extérieur ..WISNIEWSKI wrote:Jean Louis Garcia l entraineur du racing doit essayer dans un premier temps de gagner le premier match a
BOLLAERT contre REIMS pour séduire le public et continuer sur la meme lancée les matchs a l extérieur ..Oui gagner le premier match et surtout avec l’effectif le plus complet possible également… çà aussi c’est à tenir compte si on veut cimenter l’équipe et créer l’homogénéité.
j aime pas le terme cimenter je prefere reconstruire sur de bonne fondation lol..
Oui d’accord mais tu sais comme moi, que l’on ne construit pas une maison en commençant par le toit ;)
oui c est sur qu on ne construit pas une maison par le toit pour une maison nouvelle mais pour une ancienne on vérifie la toiture pour pallier aux fuites éventuelles lol…
j arrete la car on est encore hors sujet remettons nous sur le droit chemin de Jean Louis Garcia notre nouvel entraineur…L’idéal serait de remporter le match de Coupe et celui de Reims aprés !!!
Oui comme ça on accumulera de la confiance et ce sera trés important pour la suite !!!
ben au delà de la confiance, faut remonter donc victoireS = remontée
coupe de la ligue et de france ne sont également pas à négliger comme le dit notre nouvel entraineurIl faudra jouer toutes les compétitions à fond mais mettre des joueurs frais en coupes comme ça en championnat on sera plus tranquille .
Lundi 13 Juin 2011 16:33:31
Jean-Louis Garcia, nouveau coach du RC Lens pour la saison 2011-2012, est le 9ème entraineur du club depuis près de 12 ans. L’occasion de faire un récapitulatif des techniciens lensois depuis les années 2000 après le titre de champion de France et la Coupe de la Ligue, acquis en 1998 et 1999.
François Brisson (octobre 1999-mai 2000)
Nommé entraîneur en plein milieu de la saison 1999-2000, François Brisson a eu la lourde tâche de reprendre les reines du club Sang et Or, après le limogeage de Daniel Leclercq, dont il était l’adjoint. Pas facile de passer après celui qui vient d’écrire les plus belles pages du RC Lens avec deux titres en deux ans ! Il réussira pourtant à relever la maison lensoise. En championnat, le Racing passe de la 20ème à la 5ème place. Mais on retiendra surtout le parcours du club en Coupe de l’UEFA, avec une demi-finale perdue face à Arsenal. Les diverses parties décident de se séparer malgré tout en fin de saison.
Rolland Courbis (juin 2000-février 2001)
Le RC Lens fait beaucoup parler de lui en faisant venir l’ancien entraineur de Marseille, qui a mené le club olympien en finale de l’UEFA. Mais l’histoire d’amour ne va jamais prendre entre le sudiste et l’ensemble des composantes du club. En début de championnat, le Racing commence pourtant sur les chapeaux de roues et caracole en tête. Mais rapidement, le club va dégringoler au classement, et ce n’est pas l’empathie d’une partie du public à l’encontre de leur entraineur qui va arranger les choses. Début 2001, malgré une certaine remontée au classement, il est remercié et remplacé par son adjoint Georges Tournay. Il reste dans un premier temps comme « donneur d’avis ».
Georges Tournay (février 2001-mai 2001)
Homme de l’ombre du Racing et présent au club depuis 1992, Georges Tournay arrive sous le feu des projecteurs en février 2001 pour finir du mieux possible la saison entamée. Il ne fait pas mieux que son prédécesseur, mais assure l’essentiel avec le maintien du club. À la fin du championnat, il manifeste son souhait de quitter ses fonctions, estimant que sa place est ailleurs, dans un rôle d’adjoint qu’il retrouvera avec Joël Muller.
Joël Muller (juin 2001-janvier 2005)
Gervais Martel décide de faire venir celui qui avait permis en 1998 au FC Metz de devenir le dauphin du Racing : Joël Muller. Et l’intuition du président ne tarde pas à payer. Au soir de 28 journées de championnat, le RC Lens est en tête. Pourtant, lors de la dernière journée, une défaite 3-1 à Lyon vient mettre fin aux espoirs lensois de titre. Malgré la bonne figuration du club en Ligue des Champions en 2002 (victoire face à La Corogne 3-1 et 2-1 contre le Milan AC, nuls 1-1 et 3-3 contre le Bayern), les nombreuses revendications des supporters quant à un départ du technicien Sang et Or auront eu raison de lui en 2004-2005.
Francis Gillot (janvier 2005-mai 2007)
Celui qui aura connu la plus grande réussite au RC Lens ces dernières années. D’abord adjoint de Joël Muller, il lui succède avec un discours incisif en cours de saison 2004-2005. C’est d’ailleurs celui des neuf entraineurs présentés qui bénéficie du meilleur pourcentage de victoires (42,97%). Il ramène le RC Lens à un niveau européen, avant d’échouer dans la quête de qualification à la Ligue des champions en 2007. Il décide de partir sur cet échec. Le début des gros problèmes à Lens…
Guy Roux (juin 2007-août 2007)
Après une troisième place manquée et le départ de Francis Gillot, Gervais Martel apaise la double tristesse du public Sang et Or par l’arrivée d’un grand nom du football français : Guy Roux. Et avec lui, des noms connus arrivent : Bonaventure Kalou, Kanga Akalé, Julien Sablé, Vedran Runje, etc… Mais les réjouissances vont tourner court. Après des débuts réussis en Intertoto, il quitte pourtant le club après quatre journées de championnat. On évoque d’abord un problème de santé, mais il doute surtout des capacités de son équipe à atteindre les objectifs fixés. Le RC Lens est victime d’un gros revers avec ce départ précoce, point d’ancrage d’un malaise qui s’est conclu par deux relégations en quatre années.
Jean-Pierre Papin (août 2007-mai 2008)
« JPP » débarque précipitamment au RC Lens, suite au départ inopiné de Guy Roux. Nommé coach d’une équipe dont il n’a pas choisi les membres, il tente tant bien que mal de redresser une situation déjà compliquée. 18ème à son arrivée, l’équipe remonte au classement, mais à la fin 2007, elle va de mal en pis, et ce n’est pas l’arrivée de Daniel Leclercq, venu l’assister dans son rôle d’entraineur, qui arrangera les choses. Si les résultats s’améliorent d’abord, la maison s’effondre ensuite. Après une finale de Coupe de la Ligue perdue dans des circonstances difficiles à avaler face au PSG, le club termine la saison en 18ème position, et tombe dans l’antichambre, 19 ans après. Jean-Pierre Papin est démis de ses fonctions, tandis que le druide intègre l’organigramme du club.
Jean-Guy Wallemme (juin 2008-janvier 2011)
Après le fiasco Roux-Papin-Leclercq, Gervais Martel décide d’une grande lessive au Racing, et engage Jean-Guy Wallemme, qui incarne les valeurs de la région qu’il souhaite voir revenir dans le club. Le Maubeugeois doit passer par la case Ligue 2 pour faire ses preuves. Sans vraiment convaincre, le club finit tout de même en tête et retourne parmi l’élite. Pour sa vraie première année à la tête d’un club de Ligue 1 (il avait coaché Saint-Étienne six mois avec Rudi Garcia en 2001), il remplit les objectifs avec le maintien. Mais l’année suivante, le niveau de jeu n’est toujours pas au rendez-vous. Pire, Lens ne gagne plus et la fin de son aventure devient inévitable : Wallemme démissionne à l’aube de la nouvelle année 2011.
Laszló Bölöni (janvier 2011-mai 2011)
Premier entraineur roumain ayant coaché le RC Lens, Laszlo Bölöni n’aura pas réussi la gageure fixée par le club dès son arrivée : maintenir le Racing parmi l’élite. Pourtant convainquant lors des premières journées de championnat (victoire contre Saint-Étienne et Caen), l’effet Bölöni s’estompe rapidement et le club retombe dans ses travers. Avec quatre petites victoires en six mois, il ne permet pas à l’équipe de sortir de la zone rouge. Au delà de ses résultats, son discours et son style de jeu, terne et résolument défensif ont déplu. Il quitte le club en résiliant à l’amiable son contrat.
Alexis Campagne POUR INFOS A LIRE OU PAS SOURCE LENSOIS.COM
Quelle palanquée d’entraîneurs!!… décidément après 1999, on a eu l’impression qu’une descente aux enfers était inéluctablement programmée, certains se demandent même…si sur le fond des choses, les 2 titres ne sont pas venus trop vite en 2 ans…..
Oui espérons que Garcia restera l’entraîneur du Racing pendant un bon moment car y’en a marre de tout le temps changer d’entraîneur .
D’après ce qu’on sait sur la philosophie de jeu prôné par Jean Louis Garcia, ce sera un jeu tourné vers l’avant ayant comme modèle le jeu à la nantaise.
Ancien joueur et entraîneur des gardiens de Nantes, Jean-Louis Garcia a comme référence Jean-Claude Suaudeau et Reynald Denoueix et se sent proche de Christian Gurcuff. Il espère donc apporter au Racing succès et beau jeu.
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